Pour ceux qui ne les connaissent pas, ces Toulousains déploient un punk enrichi de cyberpunk et d’industriel qu’ils appellent du « rock n’ roll électronique ».
Sur cette nouvelle tournée, fini le fluo et les lasers, Punish Yourself se vêtit de blanc et de noir. Rassurez-vous, le show reste de qualité même sans tous les artifices auxquels nous avions eu droit en 2012. Punish Yourself enchaîne comme à son habitude des titres à la volée voyageant entre le sombre, l’industriel, le Rock’n’roll, l’extravagance, le tripant, le destructeur, etc. La liste de superlatifs est longue. Cependant, le côté rock n’ roll mexicain du précédent album laisse la place à un son plus brut, plus techno. Aussi froid que puissant, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Une sorte de cocktail nucléaire.
N’ayez crainte, la disqueuse est toujours là ! Après tout, c’est presque un instrument à lui tout seul qui sied si bien au groupe.
Son bruit persistant et anxiogène contraste avec son côté scénique assez unique et incroyable. On joue avec le feu, on boit du poison et on continue à en prendre plein les oreilles.
Bref, ne passons pas par quatre chemins, Punish Yourself est et restera une incroyable expérience à vivre, que les mots ne peuvent décrire à sa juste valeur.
N’oublions pas la première partie, Rabia Sorda, qui a su chauffer la salle bien comme il fallait à notre arrivée, qui est le side project de Erk Aicrag, le chanteur du groupe mexicain d’aggrotech Hocico.
Maintenant place aux photos. Croyez nous, Punish Yourself ne faillit pas à sa réputation, c’est un vrai plaisir à photographier.
Crédits photo : Cédric Oberlin
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A propos de l'auteur

Anaïs a écrit :
Bordel tes photos donnent envie.
Ludo a écrit :
Un live report inutile. Ce live report ne fait l’éloge que de Punish yourself que le public connait déjà.
On a eu le plaisir d’avoir deux groupes en première partie. Rabia Sorda qui valait peut être plus qu’un » le side project de Erk Aicrag, le chanteur du groupe mexicain d’aggrotech Hocico. »
et Shaârghot qui est un nouveau projet plein de talent et qui aaurait largement mérité qu’on en parle
Un peu plus de sérieux journalistique aurait été le bienvenue.
Cédric a écrit :
Vous m’excuserez mais ça serait contre-productif de parler de groupes que je n’ai pas pu voir ou que très peu.
Mon activité professionnelle m’ayant amener à arriver vers la fin de Rabia Sorda.
Par ailleurs je suis plus photographe que « journaliste », et Punish Yourself mérite d’être vu. Et ça ne fait pas mal de le rappeler, au moins pour les néophytes.