En attendant, quelques petites précisions concernant la couverture du festival. Vous l’aurez compris, avec une moyenne de cinq films par jour, tout voir et tout commenter relève de l’impossible. Dans cette mesure, notre couverture c’est fait un point d’honneur à essayer de couvrir tous les genres fantastiques du BIFFF et de vous proposer un tour d’horizon des différentes nationalités présentes, notamment le cinéma suisse qui nous a emballé. En introduction à ce dossier, nous avions annoncé un certain nombre de films qu’il nous tenait à cœur de vous présenter mais parfois le manque d’inspiration, les places limitées aux séances et surtout les problèmes de transport ont eu raison de nos bonnes intentions. Ce n’est que partie remise !
Toujours est-il qu’on espère que ce voyage aux confins de la folie cinématographique vous aura plu, qu’il vous aura donné envie de voir certains films et d’en ignorer d’autres et surtout de continuer à nous suivre. Enfin, et pour conclure, nous tenons à vous avertir que comme dans tout bon film fantastique qui se respecte, un au-revoir n’en n’est jamais vraiment un, votre serviteur pouvant resurgir à n’importe quel moment.
Sur ce, faite de beaux rêves !
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Julia a écrit :
Bravo pour cette couverture marathonienne !
MOC a écrit :
Qu’elle surprise de découvrir quelqu’un d’autre que votre humble (ex)serviteur qui vous l’avait fait découvrir pour couvrir le BIFFF cette année!
Si j’avais sû, j’aurai été un peu plus motivé pour le faire cette année et j’aurai bien repris du service pour le couvrir à tes côtés, Arnaud, appareil photo au poing (parce que le BIFFF se résume pas à des projos, mais bon, ça je vous l’avais déjà montré).
Mais bon… les ex chroniqueurs passionnés, ça s’oublie vite, je comprends.

Arnaud P a écrit :
Merci pour vos commentaires, ils me vont droit au coeur. @MOC bien évidemment le BIFFF ne se résume pas qu’aux projections mais ce fut un tel marathon comme le souligne Julia que j’ai du faire certaines concessions, de plus un évènement tragique à pas mal perturbé les réseaux de transport de la ville, me compliquant sérieusement la tâche pour me rendre aux séances. Quoi qu’il en soit ça aurait été un plaisir de faire cette couverture avec toi, tes photos des zombies parades des années passées étant très bonnes. Comme je le dis dans l’article, ce n’est que partie remise, l’année prochaine peut-être pourrons nous accorder nos violons.